Et parlera-t-on un jour d’indice Tesla?
Dans le livre The Rainforest que je lis en ce moment, les auteurs écrivent à propos des Role Models, que « un phénomène commun aux start-up issues des universités aux États-Unis est ce qu’on appelle parfois le phénomène Porsche. Ce principe affirme que l’un des plus grands motivateurs pour les professeurs ou les étudiants diplômés sur le campus pour démarrer de nouvelles entreprises est quand un de leurs collègues conduit une nouvelle Porsche après avoir vendu sa start-up. La confiance est contagieuse ». [Page 210]
Cela me rappelle une citation célèbre de Tom Perkins: «La différence est question de psychologie: tout le monde dans la Silicon Valley connaît quelqu’un qui a très bien réussi avec les petites entreprises de haute technologie, les start-up; alors ils se disent: ‘Je suis plus intelligent que Joe. S’il a pu faire des millions, je peux faire un milliard’. Donc, ils le font et ils pensent qu’ils réussiront et en pensant qu’ils peuvent réussir, ils augmentent leur chance de succès. Cette psychologie n’existe pas tellement ailleurs. »
Je l’ai aussi vu en Europe ce phénomène, mais pour être honnête, aujourd’hui, à l’EPFL et probablement ailleurs, je l’appellerais le phénomène Tesla… J’ai marché rapidement sur le campus aujourd’hui et voici ce que j’ai trouvé, même si je connais au moins 4-5 Teslas de plus à proximité… L’indice Tesla pourrait-il devenir pour l’innovation ce qu’est le facteur impact pour la recherche?!! Ne me prenez pas au pied de la lettre. La motivation pour faire une start-up n’est pas qu’une affaire financière, c’est d’abord une affaire de passion…
Et deux de plus le 13 juin 2017…
et le 15 juin 2017.
L’indice Tesla de l’EPFL le 15 juin 2017 vaut donc au moins 3…